mercredi 21 septembre 2011

PMOS NEWS

ACTUALITÉS PMOS DU MOIS 

La mobilité est un concept à la mode. L'industrie de consommation a su trouver les arguments technologique et commerciaux pour transformer  un concentré de technologie informatique en un appareil simple intuitif et indispensable à la vie de chacun. Le smartphone et sa déclinaison tablette fait fureur. Et du côté des applications professionnelles ?...

TOTAL RAFFINAGE Normandie, à sollicité l'expertise de PRIMAFRANCE pour lui présenter le système de capture d'information terrain. La problématique de la remontée des données provenant du terrain est une des principales préoccupations rencontrée à l'occasion des campagnes de maintenance. 
La solution a été bien accueilli par les responsables. Il est question de la tester au titre d'un Proof of Concept (POC) à l'occasion d'une campagne d'arrêt.
Des discussions s'en sont suivies pour envisager une solution équivalente au PMOS Scriptor sur Device Mobile.





Le monde de la Chimie n'est pas en reste non plus. PRIMAFRANCE a été contacté par
plusieurs acteurs de l'Industrie Pharmaceutique dont les préoccupations sont similaires aux Pétroliers. 
Bien que les applications soient très distinctes, des points de convergences entre les deux univers sont indéniables.  
Des Réflexions sont en cours pour vérifier l'intérêt de mettre en place un PMOS PhAb adapté au monde des Laboratoires Pharmaceutiques.  Il est évident que la gestion des arrêts de maintenance dans ce domaine sera vraisemblablement couvert par l'actuel version du PMOS. Dans sa déclinaison Scripto ou Tab, PMOS présente déjà l'ensemble des fonctionnalités nécessaires  à son objectif principale: l'accélération de la remontée des données. 
Il semble qu'on puisse apporter d'autres fonctionnalités au système afin de couvrir certains aspects dans le domaine de la chimie.


PMOS BAT vers une nouvelle application terrain?
Le domaine de la construction (à neuf, rénovation, extension...) pose toujours la même problématique: Est-ce que le chantier suivra l'ingénierie de conception ?. A cette question la réponse est NON. Mais il ne faut pas en faire une question de désobéissance par principe. La seule explication logique repose sur l'aléa auquel doit faire face tout ouvrage. Et c'est souvent que rien ne se passe comme on l'avait prévu.
PMOS comme outil de recueil d'informations terrains a pour objectif de fluidifier la donnée et permettre à un B.E.T d'intervenir rapidement pour résoudre un problème. On ne reviendra pas sur la nécessité de suivre son l'avancement de son planning avec PMOS. Mais rappelons-nous aussi que la notion de RÉSERVES est essentielle dans le cadre contractuel de la réception d'un ouvrage.
Bien qu'il existe déjà sur le marché des outils performants déportés sur Tablettes pour réaliser la réception, la réflexion s'oriente vers  une passerelle entre le planning de travaux supplémentaires alimenté par les réserves lors de la réception.  







jeudi 21 juillet 2011

PMOS SCRIPTOR - PRÉSENTATION

CAPTURER L'INFORMATION TERRAIN EN PHASE EXÉCUTION DES PROJETS

Cette Vidéo présente les aspects procéduraux du fonctionnement du système PMOS Scriptor en phase exécution des projets. 



mardi 14 juin 2011

TEMOIGNAGES PMOS

CYCLE INTERVIEW


Dans le cadre du cycle Interview que la Rédaction a initié, PRIMAFRANCE donne la parole a un professionnel sur les approches de capture d'information terrain et sur sa vision du système PMOS.
Aujourd'hui, Serge PEREZ, Responsable du Développement Commercial de la société PRIMAFRANCE distille à travers quelques réponses, les approches essentielles de la vision PMOS pour maintenant et dans le futur.

Bonjour Serge, Comment est né PMOS?
Progress Monitoring Solution est la réponse à une interrogation. Comment fiabiliser des données dans un système d'information pour que l'outil amène de la performance sur un projet ? Un outil peut être puissant mais si la donnée d'entrée est erronée, la donnée de sortie ne peut pas être exacte. 

A quel moment considérez-vous une donnée non fiable ?
Sur un projet de construction (industriel ou de BTP) , l'information provient toujours du terrain. il faut aller sur le chantier pour se rendre compte de l'avancement. Capturer l'information n'est pas compliqué en soi; on l'écrit à l'aide d'un papier et d'un crayon. C'est au moment où on recopie que les erreurs peuvent apparaître et la fiabilité disparaît.  Notre travail a consisté à éliminer la ressaisie des données.

Qu' avez-vous fait ?
La technologie aujourd'hui offre deux possibilités: emprisonner de l'information dans un support mobile et transformer de l'information scripturale en information numérique. En combinant les 2 on obtient PMOS.

Fiabiliser quels types de données ?
Celles dont vous avez besoin, il peut s'agir de chiffres, de lettres, de symboles (croix, un plus, un moins un dessin à main levée). La technologie nous le permet. Il s'agira ensuite de traiter les informations.

Fiabilisez, très bien, mais pour quelles applications ?
Les domaines sont vastes. Dans le cadre industriel on peut penser rapidement aux relevée de mesure (en exploitation). Toute la partie administrative peut aussi être gérée par PMOS (signature d'un OT, validation d'un permis et/ou d'un certificat...). Le Reporting d'un contrôle ou d'une supervision (validation d'une soudure sur un carnet, inscription du pourcentage d'avancement de travaux). Les prises de notes et compte rendu...Voilà quelques applications directes qui me viennent en tête. Il en existe bien d'autres encore.

Existe-t-il des déclinaisons du Système PMOS ?
Oui actuellement nous avons PMOS Scriptor et PMOS Tab. 
PMOS Scriptor fonctionne à l'aide d'un papier et d'un stylo. PMOS Tab repose sur un device mobile de type tablette et/ou smartphone.

Quels sont les Atouts de PMOS ?
Le système PMOS est une plateforme modulaire permettant le transfert du mode scriptural en mode alphanumérique des données. Il peut ensuite être relié à d'autres Systèmes d'informations pour intégrer les données transformées. Le mode de capture d'information terrain n'est pas limité. à Chacun son PMOS en fonction de ses besoins et en fonction des technologies du moment. 
PMOS Scriptor est simple d'utilisation. Pas besoin de formation pour utiliser l'outil. vous agirez de la même manière que si vous aviez un stylo et une feuille de papier normaux. "L'intelligence se trouve dans le stylo lui même" pas dans sa manipulation. Il n'y a pas de bouleversement dans la façon de travailler. Dans des univers complexes (extérieur, peu propre et nécessitant des protections) l'utilisation d'un stylo glissé dans une poche et d'un papier plié en 4 reste encore le meilleure outil de travail.
PMOS Tab est puissant, on peut emmagasiner des fichiers plus volumineux. Les fonctions de filtres permettent de rechercher l'information rapidement. On évite d'inspecter le chantier avec un "annuaire sous le bras".  Dans les 2 cas, la courbe d'apprentissage est forte. on acquiert la connaissance très rapidement, la navigation  est connue de tous et l'utilisation est simple.

Quel avenir pour PMOS?
Nous travaillons sur des pistes. Travailler en réalité virtuelle par immersion. et capturer l'information du terrain. Pourquoi pas ? La technologie de réalité augmentée nous semble un bon terrain d'exploration. Il est cependant important que la technologie soit fiable pour que le produit soit robuste...
PMOS doit demeurer un produit d'avenir. 


La Rédaction 




mercredi 11 mai 2011

ACTUALITÉS PMOS -

Informations Mensuelle sur les C.I.T (capture information terrain)

PÉTROLE

Quels sont les métiers impactés par la capture d'information terrain ? Le champ est vaste. Dans le domaine industriel, PRIMAFRANCE s'est intéressé ce mois-ci a un secteur spécifique : le pétrole et plus particulièrement aux arrêts de maintenance


Le raffinage du pétrole est une activité stratégique dans l'économie d'un pays. Maintenir les équipements est essentiel pour assurer la sécurité permanente du site, sa productivité et enfin sa modernisation. Continuer à produire implique la mise aux normes des machines. 
Lorsque l'on sait que l'arrêt de certain équipement coûte en moyenne 1 million d'euros par jour à la production et que par tranche on peut arrêter plus de 250 équipements, on mesure aisément l'intérêt pour optimiser la durée des arrêts. 

Comment mesure-t-on le travail réalisé ?

Lorsque les entreprises générales effectuent les réparations, nettoyage et autres opérations (notamment revamping), les superviseurs vérifie l'avancement des tâches réalisées et les inspecteurs les valident ensuite.

PRIMAFRANCE  a rencontré le responsable des arrêts de maintenance de la Raffinerie Exxon en Normandie. Des discussions sont en cours pour implémenter le système PMOS . L'objectif est d'accélérer la remontée des informations par le système d'automatisation des imports de données dans les outils de planification pour éviter une saisie manuelle et dégager le temps nécessaire à la cellule planning pour effectuer des analyses et proposer les actions de correction afin de tenir les délais du programme de maintenance.

Gageons que si le système est mis en place sur la prochaine campagne, il permettra de mesurer le gain de fiabilité des prévisions de la Cellule Planning sur l'arrêt.




La Rédaction 

 



mercredi 6 avril 2011

PMOS: DOMAINES ET CHAMPS D'APPLICATIONS

Que vous gériez des projets dans le domaine du nucléaire, du pétrole, du bâtiment, des travaux publics, de la pétrochimie et de façon générale dans la construction, afin d assurer le contrôle de vos projets, vous avez besoin de récupérer les informations provenant du terrain.

Pour cela, vous imprimez des documents de saisie que vous remettez à 
l'ensemble des superviseurs. Ceux-ci vont aller effectivement sur le terrain, constater l évolution de la situation des travaux et inscrire leurs observations dans des carnets. Les carnets sont, ensuite, centralisés auprès d'une équipe de coordination. Cette équipe re-saisie les données dans le système d information du projet.

Ce processus simple est toutefois consommateur de temps et peut introduire des erreurs. La re-saisie est fastidieuse car il faut reprendre les informations provenant de chaque carnet. Compte tenu du peu de temps dont dispose l équipe de coordination, la saisie peut se faire de façon précipitée ce qui occasionne de nombreuses erreurs. La remontée d informations n est donc pas totalement fiable. Les incohérences qui se retrouvent dans le système d information conduisent, l'équipe de coordination, à procéder à des vérifications. Cette situation retarde la mise à jour des données ; l'équipe de coordination passe moins de temps à analyser les situations.
Ce manque d analyse provoque des hésitations dans la conduite des actions à tenir et fragilise la prise de décisions.


Le processus reste le même. Lors de l impression des documents de saisie,
PMOS dépose de l'intelligence sur le papier. Une fois imprimés les carnets sont remis à l ensemble des superviseurs. Sans rien changer à leur façon de travailler, ceux-ci vont aller sur le terrain, constater l'évolution de la situation des travaux et inscrire leurs observations dans ces carnets. Ces données sont récupérées directement par le système d information. Le risque disparaît. L'équipe de coordination, dégagée de cette contrainte, peut se concentrer sur l'analyse et consolider ses décisions par des actions de corrections. Au besoin, l'équipe de coordination dispose du temps suffisant pour élaborer les scénarii possibles et choisir celui le plus efficace.

Dans les environnements sous fortes contraintes de travail, en milieu explosif, en milieu géographiquement isolé, pour ouvrage de très grande hauteur ou haute profondeur, la technologie n est pas toujours accessible (manque de câblage, connexion internet inexistante ou interdite, ordinateur éloigné du site de travail). PMOS se révèle très efficace car la façon de travailler ne varie pas. Il n y a donc aucune adaptation particulière à mettre en place pour faire fonctionner cette solution.

En conclusion, facile d utilisation, et peu impactant pour ceux qui s'en serve, PMOS élimine la re-saisie des données et accroît la fiabilité. Il sécurise la mise à jour, et dégage le temps nécessaire à l'analyse. La gestion et la conservation des documents sont assurées par son système performant. L existence et l intégrité des informations sont garanties grâce à leur traçabilité dès l écriture des données et lors de leurs transferts dans les outils du projet. Enfin en mode standalone ou bien implanté dans le système d information de l entreprise PMOS offre une souplesse dans son mode de déploiement.






lundi 14 février 2011

LES ENJEUX DE LA CAPTURE D'INFORMATION

Améliorer le suivi et l'avancement dans les projets de construction et/ou d'assemblage industriel

Comment minimiser le temps de saisie des avancements dans les plannings ?

Principe …


Le suivi d’un projet est une phase délicate et complexe dans un projet.


Cette phase se compose de processus permettant de mesurer, d’analyser et de réguler la progression et le rendement du projet.

Le suivi ne peut être mis en place que si un dispositif a été envisagé préalablement (planification des actions, définition des coûts, de la qualité, des risques, gestion des achats).

Ce dispositif est généralement conçu lors de la préparation du projet.

Les données provenant des différents processus vont être échangées et coordonnées afin de mesurer la progression de chacun et de fournir une cohérence à l’ensemble.

La communication se révèle essentielle afin :
-           d’obtenir la bonne information en temps et heure voulue et
-          de la transmettre à qui de droit

Comment s’y prend-t-on ? 

Les données vont être collectées sur le terrain.

La  comparaison des données planifiées et celles provenant du terrain va permettre de mesurer les écarts et de mettre en place des actions de correction pour piloter le projet.


… & Paradoxe

Du fait de sa taille et/ou du nombre de parties prenantes, plus le projet est complexe et plus la provenance des données est multiple. Il faut donc centraliser et compiler l’information pour avoir une vue d’ensemble.
La précision du suivi dépend aussi de la fréquence du relevé d’informations. Or le suivi en temps réel conduit à accélérer le rythme du relevé des informations.
L’augmentation de la volumétrie des données à traiter oblige à fournir un effort plus conséquent et ralentit la prise de décision.

Pour maintenir une prise de décision optimale il faut donc résoudre le problème du traitement de l’information.
Il existe plusieurs solutions :
Soit on mobilise des ressources pour effectuer le travail, soit on accélère le rythme du traitement.


Dans la première hypothèse, le coût est immédiat car il faut mobiliser du personnel. Dans la seconde hypothèse, le coût est induit, difficilement quantifiable et plus dangereux encore : Si on accélère la cadence de saisie manuelle cela conduit à des erreurs de saisie. Cette situation va générer des imprécisions dans les analyses, ou même parfois des incohérences. 

Dès lors pour corriger le risque d’erreur, il est nécessaire de mettre en place une procédure de vérification.

Cette situation aboutit à allonger le processus de travail et à déplacer l’enjeu du suivi ; au lieu de se focaliser sur l’analyse de la situation et sur la mise en place d’actions de corrections, la cellule planning ne va avoir de cesse que de fournir des données à jour.

Or lorsque le suivi du projet se borne au constat de l’avancement réel sans analyse ni actions de correction possibles, le projet devient comme un bateau à la dérive. Le chef de projet assiste au désastre sans pouvoir actionner les poussées nécessaires au rétablissement du navire en perdition.

Remettre l’analyse au centre de la procédure de suivi et d’avancement c’est l’objectif que doit atteindre tout chef de projet pour s’assurer de la délivrance on-time de son projet.
Il faut donc trouver un moyen d’accélérer le traitement des données.

Une approche intelligente

L’accélération du traitement des données  doit passer par la minimisation du temps de saisie de l’information.
Gagner du temps, mais à quel moment ?

Eviter la re-saisie des données
Cette situation paraît évidente car tous les corps de métiers travaillent aujourd’hui avec l’informatique. Une fois que l’information est entrée dans un système, elle peut voyager d’un logiciel à un autre par divers moyens : (messagerie, import, export, conversion de données etc.)

Néanmoins, à mieux regarder, ce qui paraît simple en apparence se révèle compliquer à mettre en œuvre dans la réalité. 
Dans le monde industriel et celui de la construction, le confort n’existe pas. L’informatique aussi sophistiquée soit-elle n’est pas toujours la bien venue sur les chantiers.
D’une part, elle n’est pas toujours autorisée.[1] D’autre part, elle n’est pas des plus pratiques.[2]

Sur site en plein air ou dans des endroits confinés et bruyants, lors de tournée d’inspection de chantier (pétrolier ou construction) il est parfois impossible de poser son PC pour saisir une information directement sur le terrain.
Enfin cette solution n’est pas pensées pour être utilisées en extérieur (froid, gel, pluie,) ou bien en atelier (chaleur extrême).

Le seul moyen de saisir les données terrains actuellement consiste à utiliser le papier et le crayon pour renseigner l’information depuis le site, puis quitter le chantier pour re-saisir la donnée dans un système d’information.

La re-saisie réapparait et la performance disparaît.


PMOS : une solution experte pour le suivi et l’avancement de votre projet :

Compte tenu des contraintes exposées dans le paragraphe précédent, il faut trouver une solution de contournement. Puisqu’on ne peut pas éviter la re-saisie, elle doit devenir automatique.
Les données vont être captées et stockées dans un outil puis déchargée ensuite dans un système d’information.

Il existe aujourd’hui une technologie permettant la conversion d’une donnée scripturale en données numérique. 
Le système est ingénieux : La captation de l’information provient de la page écrite. La conservation de l’information se fait dans un outil nomade que l’on peut conserver dans sa poche. Une fois l’information enregistrée, elle est conservée temporairement pour d’être déstockée via une unité, directement connecté au système d’information.

La re-saisie devient automatique.

De nombreux avantages

Cette solution scripturale intelligente fait disparaître la problématique de re-saisie. On retrouve les avantages de la saisie informatique sans avoir besoin d’un ordinateur.

On résout donc le problème de la perte de temps à la re-saisie. Puisqu’elle est automatique, elle dégage du temps pour effectuer les analyses.

L’automaticité dispose aussi d’une autre qualité : elle évite les erreurs de frappe. Certes le risque zéro n’existe pas. Lors de la première saisie d’information, des erreurs de jugements ou d’inattention peuvent se produire. Mais si l’automaticité ne fait que les reproduire fidèlement, la re-saisie manuelle les accroit puisqu’à chaque intervention humaine, statistiquement les erreurs de frappe augmentent.
Avec l’automaticité, le but est atteint, on minimise les erreurs de frappe.

Aujourd’hui on mesure l’intérêt d’une solution  selon deux  aspects : son utilité et sa prise en main. Facile d’utilisation La solution P.MOS est peu impactant pour ces utilisateurs. La technologie se trouve à l’intérieur des outils mais elle reste passive pour l’utilisateur. C’est en effectuant des gestes naturel qu’il va l’actionner sans avoir besoin de suivre un processus complexe.[1] La prise en main est donc aisée et ne représente aucun effort d’adaptation pour celui qui va manipuler les outils qu’on lui met à sa disposition.
Cet aspect est souvent déterminant dans le choix d’une nouvelle technologie. Plus l’utilisation requiert une connaissance préalable importante, plus les risques d’erreur de manipulation sont grands, ce qui affecte la performance de l’activité.
Dans le cas présent, la solution a été construite sur le fondement d’une idée simple mais essentiel : zéro impact pour son utilisateur.

Enfin l’intégrité  des informations sont garanties par cette solution. Le système trace les informations dès l’écriture des données et  lors de leur transfert dans les outils de gestion de projet. L’identification des profils utilisateurs et l’horodatage sont des techniques assurant la fiabilité dès l’entrée des informations dans le système d’information.
Pour accroître la performance du système, il est possible aussi d’utiliser des « marqueurs » paramétrables dans l’outil de gestion de projet. Ils permettront de constituer des alertes en cas d’incohérence entre les différentes données.
Ce double contrôle renforce l’intérêt du recours à P.moS.

Le mode d’installation et le déploiement d’une telle solution doivent aussi être considérés comme des  points à examiner avec attention. Dans le cas de P.moS, deux possibilités sont envisageables :

Soit l’installation se fait par implémentation dans le système d’information, soit elle se fait selon un système autonome. Le recours à l’une ou à l’autre dépend de la nature du projet et de la complexité du système d’information déjà existant.
Lorsque le projet consiste en une construction ou un assemblage, le caractère temporaire du projet incite à avoir une solution autonome.

Lorsque le projet consiste en une exploitation d’un site, la récurrence de l’utilisation de la solution impose plutôt d’avoir une implémentation de P.moS dans le système d’information déjà sur place.

Enfin, rien n’interdit d’effectuer une implémentation progressive en commençant par la mise en place d’un système autonome et poursuivre par son intégration dans le système d’information.
La première phase servira de test afin de s’assurer du bon choix et garantira la pérennité d’une implémentation dans le système d’information.

La performance : Une affaire de personnes plus que d’outils ?

Nous avons été amenés à décrire les avantages de P.moS et il conviendrait d’en donner les limites. P.moS n’analysera pas à votre place, c’est certain ! Mais il est important de rappeler que P.moS a été conçu  avec l’objectif premier de ne pas modifier le processus de travail. Par principe il n’amène pas de complexité et constitue un gain de temps considérable.

Il appartient aux Organisations qui utilisent P.moS de construire une méthodologie autour de deux axes :
-          Avoir une communication tournée vers les utilisateurs. Leur expliquer l’importance de  leur place dans la chaîne de remontée d’information afin de les responsabiliser et accroître la fiabilité des renseignements à la source. 
-          Créer des règles pour utiliser les fonctions de vérification de l’information et accompagner le changement sur cette approche de travail.

Il n’est pas nécessaire de revenir sur le premier point : plus l’information à la source sera proche de la réalité et plus l’avancement sera pertinent permettant des analyses plus fines encore.

Concernant les fonctionnalités de contrôle  et de vérification de l’information, bien qu’il ne faille pas le négliger, il faut de la pondération et de la retenue.
L’automaticité étant vécue parfois comme un abandon en termes de contrôle, la tentation à vouloir vérifier l’authenticité de chaque donnée est forte.
Comme P.moS dispose d’un système de  conservation et de gestion électroniques des documents papier assez développé, on dispose :

-          D’un exemplaire papier original que l’on peut conserver
-          Un exemplaire électronique de la version papier
-          D’une transcription de la donnée scripturale en données numérique 

Il existe donc trois moyens d’authentifier une information.
S’il n’existe aucune règle pour encadrer le contrôle de l’information, la vérification risque de devenir complexe et longue à mettre en œuvre.
La performance disparaît par excès de contrôle. Le risque passe de l’allongement du temps de saisie, à l’allongement du temps de vérification.
Le problème se déplace au lieu d’être résolu.
Il est donc impératif de créer un environnement méthodologique propice à l’utilisation optimale P.moS[1].

Conclusion

Pensée pour être utilisable rapidement avec une efficacité immédiate, P.moS constitue une approche innovante qui propose de résoudre un bon nombre de problèmes dans l’univers de l’industrie et de la construction.

1. Simple d’utilisation il est peu impactant pour ses utilisateurs et ne nécessite que peu d’accompagnement.

2. L’élimination de la re-saisie des données garantie une diminution des erreurs  puisqu’il n’y a plus de frappe dactylographiée. Cette situation accroit notablement la fiabilité de l’information.

3.  On observe une accélération de la mise à jour des données puisque le processus de remontée de l’information devient automatique.


4.  La sécurité de l’information est assurée par un système qui procure intégrité et non répudiation des données.


5.  La gestion ainsi que la conservation des documents sont assurées par un système performant qui offre divers moyens de contrôle pour vérifier l’authenticité de l’information. 




[1] PRIMAFRANCE a crée VIRTUE®  for P.moS  une méthodologie pour accompagner ses clients à l’utilisation des Solutions de suivi et d’avancement des projets..





[1] Il n’y a pas besoin d’ouvrir un menu déroulant, de choisir un onglet et de cliquer sur la souris. Une feuille de papier et un stylo suffisent





[1] Environnement Atex
[2] Milieu géographiquement isolé, manque de câblage, connexion internet inexistante  et fort risque de casse…